Michelle Schwartzbauer

Par Natalie Ehalt

(English) Recoleta, un premier barrio à Buenos Aires Argentine, est le petit Paris irrésistible de l’Amérique du Sud. Jusqu’au moment qu’on entend l’espagnol argentin, qui révèle la vraie identité de Recoleta, un visiteur peut être dupé, sortant d’une barque urbaine et entrant dans un jardin de 12000 roses. Les rues étroites restent fraîches et ombragées, un répit de l’humidité oppressive de la ville, avec des arbres jacaranda roses et des balcons fer forgés intéressants. L’architecture grise et blanche est plaisante aux yeux et cela encourage un petit tour tranquille dans un des plusieurs espaces verts. À Parque 3 de Febrero, l’artiste français Auguste Rodin a installé une sculpture du septième président de l’Argentine, Domingo Sarmiento. Bien qu’il y ait des parties de la vie à Recolta qui sont indéniablement influencé par la culture française, il y a des autres qui sont vraiment argentins. Le résultat est un beau créole aguichant. Les Français constituent la troisième plus grand groupe ancestral en Argentine, après les Italiens et les Espagnols.

Recoleta est un quartier construit autour de son cimetière. Ses petites avenues créent une petite ville avec des tombes ornées. Le cimetière Recoleta est la dernière demeure d’Evita Perón. Sa tombe, une destination populaire, est vue tous les jours par des touristes et des Argentins qui laissent des fleurs et des prières. Le cimetière est une résidence pour beaucoup de chats errants qui s’allongent dans les bancs béton ensoleillés. Dans le cimetière, les chats sont en sécurité, loin des bandes canins qui sont marchés, dix à la fois, par un paseador de perros professionnel. Appréciez les chiots, mais soyez reconnaissant que les commerçants rincent les trottoirs chaque matin.

En sortant du cimetière, Plaza Francia se présente. Particulièrement à la fin des semains, la place contient la fête appelée dans le passé, La Feria Hippie ou la fête des hippies. Des artistes et artisans viennent encore pour vendre leur grande fierté : les vrai espadrilles alpargatas (l’inspiration pour le chaussure « Tom’s »), les mates coupés de gourde et décoré avec métal local d’alpaca, les sac à mains, bijoux, et ceintures en cuirs, les ponchos de laine, l’huile, les encens et plus. Vous ne devez pas marcher loin pour trouver quelque chose à manger, il y a beaucoup de nourriture vendue dans la rue et plusieurs cafés très proche. Goutez garrapiñadas si vous pouvez ; des cacahuètes chaudes, sucre, dans de petits tubes en plastique.

Pour quelque chose plus considérable, asseyez-vous chez Café la Biela, qui a ouvert en 1850 quand Recoleta était géré par des fermiers et des moines franciscains. La Biela a survécu l’urbanisation et était fréquentée par des écrivains Jorge Luis Borges et Adolfo Bioy Casares. On peut voir ses photos encore derrière la buvette. Le décor de Biela est devenu d’automobile après un pilote locale a perdu une bielle (ou biela), et vaincu, l’a laissé dans le bar, en baptisant le restaurant. Dévorez des patates noisette et un plat picada avec la charcuterie du région, du fromage, et des légumes au vinaigre. Si vous avez envie de quelque chose plus fort, prenez un café de Paris, un café glacé rare avec le whisky, la glace à la vanille, le Tía Maria et la charlotte.

Parce que le Tía Maria vous donne probablement l’envie de tango, prenez le subte à San Telmo, le barrio le plus vieux de la ville, et le centre actuel du tango. Décrit comme bohême française, les bâtiments coloniaux de San Telmo contiennent des danseurs, acteurs, musiciens, artistes de la rue, collectionneurs d’antiquités, et d’autres artistes fauchés. Galería el Solar de French est une résidence coloniale qui était convertie à une galerie pour des antiquités et des photos de San Telmo du passé. El Solar de French n’est pas nommé après la France, mais pour Domingo French, un révolutionnaire argentin. La musique tango de San Telmo, avec ses chants puissants et son bandonéon émouvant, peut vous faire penser de Paris encore. Si vous voulez vivre dans le petit Paris du sud vraiment, restez éveillé et dansez jusqu’à l’aube, puis retournez à Recoleta et faites la queue pour un medialuna frais (voir un croissant collant et sucré, avec dulce de leche, la crème pâtisserie, ou confiture de coing au centre) chez un confiterías avant de retourner à votre hôtel.

Réveillez-vous pour le thé à L’Orangerie à Alvear Palace Hotel, où le soleil et plusieurs plantes suspendues vous ramèneront à la raison (si vous ne pouvez pas rester à le Palace, vous pouvez même aller à L’Orangerie pour le thé). Le Palace est situé à Avenida Alvear, une petite, mais charmante section de Recoleta où on peut trouver quelques exemples notables de l’architecture française, si incluse de petits hôtels.

Pour plus de l’esthétique française, prenez un taxi trois kilométrés sud-est à Las Galerías Pacífico, peut être le centre commerciale le plus beau de la ville. Galerías Pacífico était construit pour accueillir le magasin Argentine Bon Marché, après le magasin parisien, et il contient des fresques dans la coupole. Faire du shopping à Recoleta est une expérience. Les vendeurs impeccables vous donnent leur opinion honnête et sont prêts à dire quelle taille ou coupe est mieux. L’histoire de Barbara Redmond, Paris makeover : coming home blond, me rappelle l’expérience pour les clients à Recoleta- « Ce n’est pas pour vous, Madame, » je l’ai entendu dire.

Je n’ai pas voyagé en France, donc ces comparaisons sont basées sur mes suppositions sur Paris. Mais je peux dire que les Argentins sont très fiers de leurs ancêtres européens et leur vocabulaire et prononciation facilement reconnaissable. Le mot argentin-espagnol pour vous est « vos, » très similaire à la « vous » française (l’Argentine et son voisin l’Uruguay sont les deux pays où l’utilisation de « vos » au lieu de « tú » est plus courant). Plein de vieux lunfardo (argot), est basé sur le français aussi. Le mot argentin marotte, ca veut dire « tête, » vient du mot français marotte. Les mots ont une prononciation très différente, mais ils sont connectés par leurs racines. C’est la même, je crois, pour la culture française en Argentine. Certainement vous trouverez des nouvelles versions d’un croissant à Recoleta ; même si vous le trouvez un sacrilège, ils seront délicieux.

Remerciements : Nous sommes reconnaissants envers les personnes suivantes pour aider à faire cette histoire possible : Elyse Rozina Rédactrice en Chef de Traduction à A Woman’s Paris, étudiante du français et de l’italien à l’Université de Minnesota Twin Cities ; et Allison Haberstroh, Rédactice à A Woman’s Paris, étudiante du française et de l’anglais à l’Université de Minnesota Twin Cities.

Natalie Ehalt est un consultant éditorial pour A Woman’s Paris. Elle a étudié anglais avec accent sur l’écriture à l’Université de Iowa. À Iowa City, elle a participé dans le Writing Fellows Program pendant deux ans et travaillé pendant trois ans avec des écrivains internationaux avec le International Writing Program acclamé de l’université. Elle a passé son dernier semestre à Buenos Aires et elle a des licences de l’espagnol et de l’anglais. Maintenant, Natalie est la maîtresse principale à Joyce Bilingual Preschool à Minneapolis. Elle et son mari, un Argentin, habitent heureusement à Uptown (à Minneapolis) avec leurs deux grenouilles, Pepe et Boss.

Vous pouvez également profiter de la poste de « A Woman’s Paris® »

Les aventures en voyage : Reunion, Ile française, de Lindsay Pepper qui partage son expérience de finir ses études avec une spécialisation en français avant de participer en TAPIF (le program des assistants pédagogiques en France). Lindsay a choisi une option peu conventionnelle et est allée à l’ile africaine francophone, la Réunion. (English)

Une fille française en Grèce: Sur des ados, la mer et des raisins secs, par Flore Der Agopian. « En Grèce, toute la nourriture est naturelle et nous l’avons remarquée après le premier gout, » Flore dit sur ses aventures en Grèce. « On sent le vrai gout des plats. En France, nous avons des restaurants exceptionnels, mais il peut être cher quand on veut la même sensation. (English)

Je rêve de Paris. Écrivaine et professeur Natalie Ehalt partage la citation de Napoléon qui écrit en 1795, « Une femme a besoin de six mois de Paris pour connaître ce qui lui est dû et quel est son empire. » Pour Natalie, Paris est l’ultime en élégance et style. C’est vieux, c’est les pavés, c’est les tabliers, c’est un chauffeur qui vous aide à sortir la voiture. (English)

Les rues de Marrakech, de Jennifer Haug, éducatrice TESOL et voyageur du monde qui écrit sur l’influence française à Morocco et ses expériences d’enseignement là-bas. (English)

La découvert des boubous, des taibas, et moi-même au Sénégal, par Ashley Steele, une Afro-americaine et étudiante du français, qui voulait voir une culture non occidental et ses perspectives où elle a trouvé un sens profond quand elle a mis les pieds sur la terre africaine. (English)

L’heure bleue : le moment je suis tombée amoureuse de Paris, de Barbara Redmond qui partage ses premières expériences inattendus à Paris. Elle a été accueillie par le bruit et l’air chaud et humide ; ce n’était pas le beau Paris qu’elle a imaginé. Barbara parle du moment où elle a trouvé le vrai Paris et tomber amoureuse. (English)

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